miércoles, 22 de octubre de 2008

A descubrir un grupo de rap francés...

Hola, me llamo Alexandre, tengo 17 años. Formo parte de la clase de español de Mme Pelletier.
Cada semana,tenemos que hacer una exposición y¡ voy a empezar!
creo que a ustedes os gusta mucho la música. ¡A mí me gusta también!
Por eso voy a hablar del grupo de rap que yo prefiero :

Se llama “Chiens de paille”. Se compone de dos hombres: SAKO y HAL que viven en Cannes
“au bord de l’amère méditéranée” (juego de palabras en Francés.)
SAKO se llama así en memoria de Nicola Sacco, un anarquista italiano que vivía en Norteamerica.Fue ejecutado en 1927. la justicia sabía que era inocente,pero para ellos,era culpable de ser italiano y anarquista...
SAKO escribe los textos y les canta. Y HAL hace la mísica.Los textos de SAKO no son ordinarios.
Su lenguaje es muy metafórico,muy poético. Por eso,comprender precisamente lo que SAKO dice es
muy difícil... No hace música comercial. Tiene una vida dificil,triste. Eso explica porque casi todas sus músicas son lancinantes.

Su canción “Comme un aimant” es un buen ejemplo...
En esta canción, SAKO habla de su juventud,cuando se pasaba el tiempo en las calles de noche,esperando la manana en un banco.

“Mon coeur mes textes, comme les temps sont durs,mais qu’est ce tu veux qu’j’te dise tu sais,les tensions durent. Reminisences sombres aux couleurs d’amethyste, mais qu’est’ce’tu veux qu’j’te dise, tu sais, mon âme est triste...” SAKO (maudits soient les yeux fermés)




letra de:“comme un aimant”

Une passion lézardée. L'érosion des années. Mes parents désarmés se séparent. La maison désormais résonne de leurs paroles désolées. Une part d'ombre est scellée. Pour ne pas rompre, esseulée, chaque jour ma mère se bat. Elle a le monde à soulever et sur ses joues tant de peines me navre. Goût amer. Je pars quand la foudre en elle parle. Pardon de me sauver. J'ai mal de voir ce qui m'attend. Grand besoin de souffler. Pas le cran de la retrouver la tête dans les mains, en quête d'éléments, de raisons de garder les rangs. Je suis de ceux qui traînent tard, à squatter les bancs tels le fer et l'aimant. Ma vie se fait de ces moments où on est mieux loin de chez soi. Moments d'éternité. L'éternité est un moment mais on l'oublie l'un de ces soirs où, en mal de trophée, on refait le monde loin des bras de Morphée, le cœur empreint de cette âme qu'ont les chœurs en plein stade... Mais peu importe, le décor s'ancre, on s'installe entre stages et intérims. En soi, rien de terrible, on stagne là où des petites filles déjà petites femmes charment des hommes encore mômes fans de Jackie Chan, pendant que des femmes encore petites filles élèvent des mômes déjà durs comme des hommes. J'espère en l'espoir perdu, sur les cendres de nos sorts, que leurs voix innocentes ne se joignent pas à l'ensemble des perdants que nous sommes. D'autres, se voyant sans songes, s'en vont, se noyant dans leur sang. L'eau passe sous les ponts. Il me semble qu'hier encore, ma mère m'embrassait sur le front.


Refrain : J'ai pas choisi de réduire mon monde à ce banc comme Escobar à Medellin. C'est parce qu'erre le spleen, c'est parce qu'être mine. C'est le récit de mes nuits blanches dans la cohue déjà, communément, connu des gens du genre comme une légende, des gens collés aux bancs du genre comme un aimant.Assis, une lettre à la main, où les miens se laissent être - ce coin de terre maigre où les chiens aiment faire. Je profite de l'instant là où les chemins viennent se perdre. Serein devant cette lettre dont je sais rien, c'est peut être tout et n'importe quoi mais ne rien savoir laisse une touche d'espoir rare à notre endroit. Entre autres, en bas, j'en ai marre de perdre. Cette lettre, une part de rêve dans ce pâle réel. Un poumon quand, pour mort, mon esprit manque d'air, que trop de marques de peine se lisent sur ma face. La peur qu'y ait rien me harcèle, las d'errer en ville jusqu'au matin. De nouveau, vivre m'enivre. L'entrain rince mon cœur vide d'envie puis s'étalant sur mes lèvres, leurs coins se surélèvent. Le déçu se relève droit dans l'arène comme un roi devant sa reine et les fauves morts. Putain, je sens resurgir d'affreux remords de leur formol. Innocence, je rêve. Cette lettre, ma charge de revanche quand tout s'acharne sur les gens comme le hasard sur mes chances pour que notre passage prenne un sens. J'ai pas la hargne de naissance. Je rêve de puiser dans ma jeunesse à grandes mains, que je puisse prendre les bons chemins et ne me brise pas, trimant comme tous triment, pour des miettes en guise de part, mais le rêve est mon vice. La vie se marre quand ses fils marnent, lisant la lettre, je réalise. Sa justice vaut autant que celle des hommes, aux dépends de ceux de ma zone. On se débat tous dans ce monde mais on est tous seuls, en somme, je te jure. Je resterai qu'un arracheur de sacs aux yeux de ceux dont la vie n'est autre que la vie des autres. Je baisse pas assez la tête. Peu d'idéaux mais les idées hautes. Radieux, le ciel rend cet enfer confortable. En fin de compte, quand on regarde, combien montent ? combien tombent ? Inutile de le dire aux gosses…Refrain.

SAKO es casi un desconocido en el mundo del rap,porque es difícil comprender lo que dice.
Hay dos partes en el mundo del rap: los que se escuchan en la radio,los comerciales,con textos comunes y los poetas.
SAKO hablando de las radios: « Le rap entre leurs mains c’est Ray Charles au manche d’un avion de chasse. »
SAKO no se gana bien la vida,vive en la miseria.
« J’ai honte devant ma femme,on a tellement du se priver,pour subsister,si seulement l’amour suffisait... » SAKO (« j’ai plus le temps »)


Para ganarse la vida, SAKO tiene que hacer música comercial. Hizo un featuring con FASLALARMA.(Un Español). A mí no me gusta esta canción. Pero como una parte del texto está escrito en español, me gustaría saber lo que FASLALARMA dice:
el titulo es “El camino recto”.
Yo querría saber si FALSALARMA es famoso en españa, y si os gusta.

Gracias por leerme.

Alex.

lunes, 6 de octubre de 2008

Nuestra clase de español en el Instituto Raymond Poincaré



¡Hola!

Es nuestro último año en el instituto. Somos catorce "literarios" y tres "científicos". Hay muchas chicas: trece.

Estudiamos español desde hace cuatro años. Tenemos dos horas de español por semana.

Os tenemos envidia por vuestro sol y vuestro clima.

Vivimos en Bar-le-Duc o en pueblos cerca de Bar-le-Duc. Esta ciudad está en el Noreste, es una pequeña ciudad (16000 habitantes) cerca de Verdun (la ciudad de la Primera Guerra Mundial, Centro Mundial de la Paz), a 200 kilómetros al este de París y a ochenta y tres kilómetros de Nancy (una ciudad universitaria).

Para nosotros, el blog puede ser la posibilidad de:

viajar a Valencia,

encontrar a españoles,

mejorar nuestro nivel en español,

invitaros,

compartir nuestras pasiones y opiniones...

¡ Hasta pronto!

¡los alumnos de la foto!